1963
Paul Éluard
Tu te couvres tu t'éclaires
Tu t'endors et tu t'éveilles
Au long des saisons fidèles
Tu bâtis une maison
Et ton coeur la mûrit
Comme un lit comme un fruit
Et ton corps s'y réfugie
Et tes rêves s'y prolongent
C´ést la maison des fruits tendres.
Et des baisers dans la nuit
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Il ne faut pas voir la réalité telle que je suis
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